J'ai connu Kââ, je l'ai cotoyé, j'ai été son élève. Un "personnage" fascinant, une culture étonnante, des défauts aussi, mais qui n'en a pas ? Son analyse de l'Homme et de la vie ont eu sans aucun doute un rôle dans son auto-destruction. Que de tristesse quand je pense à lui. Un grand merci d'avoir laissé ces oeuvre pour les vivants, les "presque-morts". Je n'oublierai jamais " le vin, le chat, et la nuit".
Je tombe sur votre blog en cherchant une photo de Kââ, et je suis heureux de me déclarer 2ème fan. Ben oui, je les ai tous aussi, et à mon sens, s'il y en a deux ou trois un peu moins bons, je dirais, comme Brussolo, que Kââ était ce qui est arrivé de mieux au roman criminel français depuis ... pas mal d'années.<br />
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Je suis heureux que quelqu'un parle de lui, merci!